Henri-Claude Oyima, Président de la Fédération des entreprises du Gabon (FEG).
Le gouvernement a pris la décision de confier la gestion des Caisses nationales de sécurité sociale et d’assurance maladie au patronat gabonais. Cette décision fait suite aux contre-performances des dirigeants des différentes caisses depuis plusieurs mois.
C’est le 8 décembre dernier que le gouvernement a pris la décision. La médiocrité notoire des dirigeants avait entraîné des mécontentements dans le rang des populations qui ne se faisaient que se plaindre. La FEG sous l’égide de son Président Henri-Claude Oyima avait émis le souhait de la privatisation des Caisses publiques. À l’annonce de cette décision, le Président de la FEG, heureux, a salué le pragmatisme et le dynamisme du numéro un gabonais sur la problématique de la prévoyance sociale. « Désormais, la Caisse nationale de sécurité sociale et la Caisse nationale d’assurance-maladie et de garantie sociale seront gérées comme nous l’avons souhaité par le secteur privé » a-t-il affirmé.
Le parcours d’Henri-Claude Oyima présage déjà de la bonne gestion des caisses publiques. L’homme a en effet été à la tête de la Holding BGFI BANK, avec un bilan très positif. Pourtant, certains médias se sont déjà lancés dans une campagne de salissure contre Henri-Claude Oyima, Président de la FEG. Pour rappel, les conseils d’administration des deux caisses d’État avaient été virés par le chef de l’État lui-même à la suite de plaintes incessantes des ayants droits et principalement des retraités. Quelques voix s’élèvent déjà du côté de la population pour demander des comptes aux anciens dirigeants sur la gestion des fonds publics.
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